DJ, manageuse du label et des soirées POLAAR et productrice de musiques électroniques, Flore est une artiste incontournable de la scène lyonnaise. Compositrice et performeuse depuis une vingtaine d’années, elle anime aujourd’hui des workshops et formations sur le logiciel Ableton autour de la composition et du jeu live.
Flore continue de répandre la bass music, des festivals aux clubs, en France et à l’étranger, notamment Nuits Sonores, Transmusicales, Fusion Festival, Fabric London et plus encore. Son album intitulé RITUALS, sorti en 2020, a été acclamé par la presse nationale et internationale. En tant que lyonnais, il m’était impossible de passer à côté ! Elle m’a donc donné rendez-vous chez elle pour une interview exclusive en direct de son studio..
Après de nombreuses heures passées à digger dans le shop, c’était le moment pour moi de partir à la rencontre du fondateur d’Onigiri records. Malgré le froid et la neige qui est tombée cette nuit, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis mis en direction du 7e arrondissement. Situé au 40 rue Chevreul, Onirigi est en place depuis juin 2021 dans un quartier en pleine effervescence.
Un café signé Moxxa accompagné du meilleur pain au chocolat du quartier et l’interview était lancée. Accoudés au comptoir, les disques tournent sans cesse avec un son délivré par les chaleureuses HS8 de Yamaha. Une ambiance qui colle parfaitement au caractère décontracté et sans prise de tête du gérant. “Ce magasin c’est un peu ma vie”.
À Lyon, de nombreux artistes s’essayent. Du street art au graffiti, les rues de la ville sont depuis les années 90 de véritables terrains de jeux. Provenant des États-Unis, le graffiti s’est démocratisé dans le monde entier. Aujourd’hui j’ai rendez-vous avec Flo, le fournisseur officiel des graffeurs Lyonnais. Né à Lyon en 1981, il est lui-même graffeur et il décide d’ouvrir son store en 2008. Situé au 21 rue des Capucins dans le 1er arrondissement, il appelle son shop : Eighty One Store ! “Eighty One c’est mon année de naissance, ça ne me rajeunit pas mdr”
Il faut être myope pour passer à côté du disquaire Sofa Records situé au 7 rue d’Algérie dans le 1er arrondissement de Lyon. Le shop monté par Pierre-Olivier Leclercq en 2000 n’a pas pris une ride. Étant né la même année, il était important pour moi de connaître son évolution durant ces vingtaines d’années. Le gérant nous raconte comment il a su s’adapter au marché de la musique face au covid-19.
“J’arrête la musique ?” C’est par ces mots qu’a débuté l’interview. Pas commun pour l’audiophile qu’est Pierre Olivier Leclercq qui m’a mis dans cadre sonore adéquat pour l’enregistrement. Commençons ! Nom, prénom, date et lieu de naissance ? “Carrément mon lieu de naissance ?” répond-il en déconnant, pas facile à dire quand on vient du Creusot “Ça je préfère que ça reste confidentiel” ajoute-il en rigolant.
Situé au bord du lac d’Annecy, Le Brise Glace à été construit en 1998 par Henri Montulé, disciple du Corbusier. Un bâtiment classé et partagé avec l’école supérieur d’art. Je vous laisse imaginer ce qu’a pu endurer le bâtiment en 25 ans d’existence ! Après avoir interviewé Radio Meuh, je Phil* à la rencontre de Fanny Guignard, responsable communication au Brise Glace depuis 6 ans. « Je savais pas que c’était une interview de moi ! ».
Direction La Clusaz pour une interview exclusive en plein cœur de la montagne. Après de nombreuses péripéties avec ma voiture, j’arrive enfin à Radio Meuh. La montagne, ça vous gagne ! Je vous répondrai oui, sauf lorsqu’on a pas de pneus neige et une batterie qui ne tient pas la route.. Heureusement, Philippe m’a accueilli les bras ouverts avec un café chaud. Pourquoi le nom Radio Meuh ? “C’était un clin d’œil par rapport à nos origines, la montagne, le reblochon. Il y a sûrement plus de vaches que d’habitant à La Clusaz. Rire. C’était aussi pour montrer qu’on se prenait pas trop au sérieux non plus, un côté décalé, détendu.”